PUTAIN LE BIEN, LE BON D' ETRE GRAND PERE

Affreux, malpoli, que je suis.  

Je me disais cela dans ma tête en regardant assis à côtés d'Antoine et Arthur, mes petits fils, le beau film de "BELLE ET SEBASTIEN" Athur commentait tout fort l'arrivée des loups, sur le grand écran, et Antoine à un autre moment, debout sur son siège frissonnait de peur, pour le gros chien blessé.

Moi, j'étais ému, soixante deux ans de vie réduite à un coeur pincé d'émotions devant ce spectacle, mes yeux se sont plus qu'embués de ces belles images projetées ou à mes côtés, et cette belle musique qui est revenue chatouiller mes souvenirs d'enfants. Quel con je fais, mais quel bonheur de vivre par trop de sensibilité de tels moments, avec deux enfants qui nous garderons en souvenir de longues années.

Polycarpe.

Calogero Zazie L’oiseau.