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BELLEVAUX, L'ANARCHIE DANS LA SOUPE
BELLEVAUX, L'ANARCHIE DANS LA SOUPE
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BELLEVAUX, L'ANARCHIE DANS LA SOUPE
13 juillet 2016

CETTE EUROPE QUI PUE DECIDEMENT TROP EN SON SOMMET...

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  • Décidément près du couvercle , cette Europe phagocytée par les marchands pue la charogne à plein nez ...

    Dans la grande cuve  de 195O, celle rêvée par Jean Monet ou Robert Schuman et autres idéalistes, à l'échelle du temps,  le fond a été très vite percé par la vérole rampante du mercantilisme...

    Pour faire court, et au fur et à mesure de plus d'adhésion, la putréfaction s'est vite accélérée. Dessous tassés,  les peuples emplis d'espoir, de paix, de prospérité, au milieu l'indécente machinerie administrative s'arrogeant au fil des années de plus en plus de privilèges financiers, avec au sommet une caste méprisante, arrogante , sans morale et autres lois, que celles du profit exigé par les nombreux et puissants lobbyes.

    Dans cette cuve à 28, maintenant à 27, tout dans l'histoire récente aura mijoté : la lâcheté, la médiocrité, les égoïsmes, le renoncement, la cupidité, le mépris des choix des peuples...

    L'Europe pue depuis trop  longtemps.   Cette odeur de dégoût, qui détourne la jeunesse, le petit peuple de cette pourtant belle utopie des peuples rassemblés, est devenue complètement insupportable au plus grand nombre. La putréfaction non contenue, renvoyant aux extrêmes les plus fragiles des laissés pour compte, est une vraie bombe fragmentée qui ne demande qu'à être amorcée, dans bon nombre de pays de la communauté. 

    Le passage de la tête de l'Europe à celles pourries rejointes chez Goldman Sachs, par Barroso, est la goutte de trop faisant déborder le trop plein de  vase que personne n'arrive plus à maitriser.

    Il y a lieu, c'est sûr comme une nécessité d'un acte fort. J'sais pas ( moi j'ai bien des idées,  que même mon épouse les trouvent trop radicales)  mais une action, un geste  signifiant clairement "s'en est trop !" devrait punir cet individu malveillant d'avec nos destins communs...

    Polycarpe.

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