RIEN A DIRE SUR LE SOCIALISME...

 - l'opportuniste - 

Moi, tellement fécond sur la période Sarkosyste, avec son agitateur de bains-douches et ses petites mains de basses besognes, barbotant perpétuellement dans le déni et le mensonge, ma source inspiratrice avec Hollande est comme : tarit.

Que dire du socialisme, si ce n'est comme un ennui d'une perpétuelle fin de dimanche soir... On sait que demain, c'est lundi, que l'on va se faire encore chier dans la banalité routinière d'une vie sans trop de perceptives pour les plus chanceux ou avec celle de la dégringolade programmée pour ceux, nombreux, tenant comme des pantins aux fils anxiogènes des emplois précaires, de l'intérim ou du chomâge.

Hollande, touille et balladure dans la marmite libéro-socialiste, une soupe épaisse et amer, qu'il semble vouloir au goût de toute la société.

Impossible bien sûr, impossible...

Et ces ministres de cours préparatoires et ce premier ministre d'école libre qui distribue à l'opposition, les bâtons pour faire croire une fois encore que le socialisme au pouvoir, n'est qu'improvisation...

 Un état de veille, le monde tout autour s'agite et saigne, et dans la tête de chaque français la sourde certitude que la merde monte, monte et que bientôt les marchés, la réalité nous y mettra dedans, le nez !!!

Jaurés, inspirait autrefois du lyrisme, Hollande diffuse une inquiétude sinistre, Fillon en embuscasde, qu'il l'est encore plus, aujourd'hui et demain, rien que du gris à l'horizon...

J'suis un vieil anarchiste, j'ai la chance de ne pas être trop dans la réalité, alors merde, ne me demande plus de commenter le fade politique, sauf de temps en temps, pour m'insurger contre une trop grosse saloperie, dont certains dans ce gouvernement, sont capables... car le pouvoir, oui le pouvoir... non j'arrête, je vais emmerder tout le monde avec mes vieilles rengaines libertaires.

Polycarpe.