IEL... NOUVEAU-VELLE (DU GENRE ) qui déconne !

Et oui, Charles, toi le mâle blanc, phallocentré, ton bel Albatros, va peut être bien un jour, se poser masculin/femelle, sur le pont des bateaux ivres de l'éducation nouvelle...

En effet, dans les soutes des avions d'Amérique du Nord, sont venus jusqu'à nous, de drôles oiseaux gras, du genre sabreurs, nourris aux sojas transgéniques du " wokisme " séparant de fait, le mauvais grain sans doute, depuis toujours masculin, de l'ivraie bafouée de la diversité, voulant renverser le fixisme patriarcal.

Irrémédiablement, le-la, con-nerie, avance...occultons présentement le lent poison déjà dispersé entres les sexes, les ethnies, les catégories sociales, les croyances religieuses, et concentrons-nous, sur l'éducation délitée, de nos enfants.

Depuis de trop longues années, la langue française est chargée d'insuffisances, d'abandons, de renoncements masculins, féminins, en tous genres.

Le style, la syntaxe, la beauté, la grammaire, sont ballotés, triturés, et jetés à l'eau, celle tiéde, trouble et lâche des facilités, à éviter, quoi qu'il en coûte ( dans les classement Pisa ) les vagues rebelles dans nos citées. 

A notre langue, qui aujourd'hui, se déplace en ambulance, dans nos écoles, sur les plateaux, sur scène ou sur les réseaux, des apprentis-es, sorciers-ières veulent, voudraient, y mettre le coup de grâce, il faut, il faudrait... d'urgence, à la guerre comme à la guerre, Jeanne... les  " bouter " unisexe dehors de la France...

Et de : Racine, Molière, Hugo, Verlaine, Marcelline Desbordes, Rimbaud, Anna de Noailles, Chateaubriand, Baudelaire, Andrée Chedid...etc... faire s'il le faut, une grande barrière, une frontière, une imprenable ligne magie des mots, à  bien pouvoir nous protéger, de la connerie universelle de tout-es-, ces " Chamberlain " de sous- préfecture, qui honteusement, se couchent sur les pieds fourchus, des multiples et agissantes minorités...

Polycarpe.

( Christian Cornier, mâle blanc, énervé, hétéro et amoureux des mots )

L'albatros, l'oiseau sévérement corrigé :

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 Que ces rois et reines de l'azur, maladroit-e-s et honteux-s-es

Laissent piteusement leurs grandes ailes

Comme des avions traîner à cotés d'eux-elles

Lui-elle, naguère si-beau-belle

Qu'il-elle est comique est laid-e...